J’ai oublié mon Kindle Paperwhite dans un avion. J’en avais dit beaucoup de mal, mais je m’y étais habitué au point de me préparer à le remplacer ASAP. Et comme par hasard Amazon dévoile aujourd’hui son nouveau bébé.
Après la publication de ma critique en octobre 2012, on m’a accusé d’être de mauvaise foi. Lisez mon texte, lisez les commentaires, lisez la nouvelle publicité, elle s’emble répondre à chacune de mes critiques.
Le nouveau Paperwhite est 25 % plus rapide, son ancêtre se traînait. La couche tactile ne répondait pas, elle a été remplacée. La fonction glow n’était pas homogène, elle a été réinventée. Le contraste et la définition n’étaient pas aussi extraordinaires qu’annoncés, ça s’améliore grandement. La navigation dans un livre était quasi impossible, chose réparée.
Reste à juger sur pièce début octobre lorsque je recevrai le bébé. J’espère que l’interface opérateur aura elle aussi bénéficié d’un beau lifting.
Pour l’avenir je rêve d’un Kindle Fire Paper. Le mix de la tablette et de la liseuse. Poids toujours dans les 200 g. Pas de surchauffe. Possibilité de faire tourner des apps de lecture comme Feedly. De surfer correctement. De gérer les mails. Me faudra encore attendre au moins un an.
Message à Amazon
Pour tout de suite, il serait bien de pouvoir synchroniser dans le cloud les livres que j’ai installés via Calibre. En perdant mon Kindle, j’ai perdu mes notes, marques pages, les livres en cours, ceux que j’avais chargés pour lecture future… ça serait sympa d’ouvrir la synchro à tous les ouvrages présents sur le Kindle.
Et puis, la césure, c’est vraiment pas pour les chiens...