Avec les réseaux sociaux et les plateformes de microblogging, on ne peut plus avoir de secret pour personne. Ce graphique indique le nombre de tweets postés pour mon twiller depuis son lancement en décembre dernier. Plus je consacre de temps à Starglider, moins je twitteromance. Logique. D’autres graphiques montrent que je n’ai aucun goût pour le travail nocturne.
J’ai envie de dédier ces graphiques à tous ceux qui ces derniers temps annoncent qu’ils sont les premiers à publier des romans sur Twitter. Le dernier en date auquel je ne peux m’empêcher de faire de la publicité est Christophe Sims qui s’est fendu d’un magnifique communiqué de presse. Quand je lui ai envoyé un message sur Twitter pour lui dire que la curiosité était la première des qualités d’un auteur, il ne m’a pas répondu. Tout se perd sur le web, même les baffes (bon, ça c’est pas nouveau).
Pour ceux que la littérature sur Twitter intéresse, j’ai compilé quelques liens. Mais franchement, à part se faire de la pub, je vois mal l’intérêt de découper un texte existant en blocs de 140 caractères pour les poster sur Twitter. Un robot se changerait très bien de ça. On a inventé scridb pour éviter de se prendre la tête. L’intérêt est d’écrire avec la contrainte en tête, de publier au jour le jour, pas de déverser une sauce déjà prémâchée (ça c’est l’édition normale).
Bon, il est temps que je parte en vacances.